Modification sur fiche de paie.

Bonjour à toutes et à tous, voici mon dilemme :

Je travaille exclusivement de nuit, soit 15 garde préfectorales par mois. Actuellement, je perçois une prime "équivalence nuit" de 15 euros par permanence soit 225 euros brut par mois. Ceci depuis le début soit 3 ans environ. De plus mon employeur ne me payer pas les indemnités de repas unique.

A partir de ce mois, la prime "équivalence nuit" va passer à 10 euros soit 150 euros brut par mois. Va s'ajouter les indemnités de repas unique soit 7.48 * 15 soit 112.20 euros brut par mois.

Donc au total, je vais toucher 262.20 euros brut par mois. Cependant, je voudrais savoir combien je vais toucher en net. Il me semble que les indemnités de repas unique ne sont soumises ni aux charges ni à l'impôt sur le revenu.

Quelqu'un peut il me dire si cette formule est avantageuse au final ?

La prime "équivalence nuit " étant perçu depuis plus de 6 mois , n'est elle pas un acquis social ?

Merci d'avance.

Salut!

Il me semble qu'il faut retirer 23 ou 24% de ton salaire brut pour avoir le net...
Sinon il ya des convertisseurs brut-net sur le net.

les indemnitées repas sont du net, pas de cotisations sociales dessus et ne se declare pas aux impots
pour moi, c'est un recul, meme si tu gagneras plus

Merci JP77 , pour moi aussi je suis pas sûr du tout que ce soit une avancée sociale, je reste septique.

Oui ta prilme si elle est versée à l'ensemble des salariés de même catégorie (par exemple ambulanciers roulants), depuis plusieurs mois, elle devient un usage.

Ton patron peut tout à fait dénoncer cet usage et le remplacer par autre chose ou par rien, mais il doit auparavant respecter les règles de dénonciation.

Si il existe un délégué syndical dans l'entreprise, le patron doit négocier la dénonciation avec lui (obligation légale).
en l'absence de délégué syndical, un RSS àles mêmes prérogatives, et à défaut ce sera le DP ou un salarié mandaté.
Mais dans ces cas, il faudra en plus faire une consultation des salariés pour receuillir leur opinion.

Ensuite, chaque salarié doit être avisé individuellement (courrier) et collectivement (affichage), et le patron doit respecter un délai permettant la négociation avant de cesser de verser la prime (en général c'est au moins 2 à 3 mois).